jeudi 15 avril 2010

La coopération entre l'Iran et le Mossad en Irak.

Qui voudrait arracher l'Irak
à ses racines arabes ?


Depuis quelques temps on assiste à la distribution et à la diffusion actives de littérature signée par un certain Taqi Jassim Sadiq mettant en doute l'arabité de l'Irak et affirmant que l'Irak est soi disant non arabe. En outre, cette littérature met en doute aussi l'appellation même de l'Irak et demande de l'abandonner et d'en choisir une autre. L'auteur de ces écrits paraît utiliser la tequia shiite (stratagème, ruse) comme point de départ pour ses entreprises.

Cependant, après avoir longuement analysé et étudié les écrits de celui qui utilise ce pseudonyme nous avons conclu ce qui suit :

1- Le pseudonyme en question est en fait un individu sioniste du nom de Shlomo Aziz, agent du Mossad et vivant à Tel Aviv. On lui a assigné le rôle de celui qui défend les Shiites irakiens et en fait un prétexte pour couper tout lien de l'Irak avec ses voisins arabes et le transformer en lieu de lutte sectaire entre shiites et sunnites.

2- Par ailleurs, nous avons la preuve que l'individu ci dessus collabore avec des parties pro iraniens malgré le fait qu'il critique l'Iran de temps à autre, profitant de la haine de l'Iran pour tout ce qui est arabe.

3 – Il est important de rappeler que les tentatives de la destruction de tout lien de l'Irak avec l'arabité a commencé et de façon systématique avec l'entrée des forces d'occupation, son premier souteneur étant un espion d'origine irakienne portant la nationalité suisse qui défendit la thèse d' « une nation irakienne » d'après les ordres reçus de ses tuteurs du Mossad. Ensuite il a été suivi par le fameux espion Mithal Aloussi qui fonda le parti « la nation irakienne » avec l'appui du Mossad.. Aloussi visita à plusieurs reprises l'entité sioniste où il rencontra l'individu qui porte le nom de Teqi Jasim Sadiq et commença à travailler avec lui.

L'Alliance des Sentinelles du Peuple Irakien voudrait par la présente mettre en garde notre peuple sur les méthodes et procédés malignes utilisés par les services secrets du Mossad et leur collaboration étroite avec l'Iran et les US utilisant des individus tels Mithal Aloussi.
Alliance des Sentinelles du Peuple Irakien
Bagdad 14 avril 2010
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mercredi 14 avril 2010

L'Irak : Berceau de la Civilisation

L'Irak : berceau de la civilisation et de l'Ecriture

Dans le monde qui nous entoure, où l’usage de l’écriture est universel, on trouve en somme « naturel » un tel usage et nul ne se demande d’emblée comment et quand il aurait pu inaugurer ! L'Écriture nous apparaît comme un élément aussi indispensable à notre vie que le feu, l’outil ou le langage, et il nous ne vient pas facilement à l’idée qu’elle ait jamais pu être absente de notre passé.


Pourtant si l’on remonte un peu haut dans le temps et si l’on se transporte un peu plus loin dans l’espace, on ne met guère à s’aviser que le plus grand nombre des centaines de langues parlées entre les hommes, n’ont jamais été écrites ; même si de nos jours beaucoup d’entre elles ont subi à la fin une alphabétisation tout à fait allogène - c’est-à- dire d’origine différente de la population existante, comme le Turc, le Persan ou le Swahili plus récemment.

L'Écriture n’est donc pas « naturelle». C’est un fait de civilisation et c’est originairement le fait d’un nombre fort réduit de civilisations. Voilà pourquoi en dépit de la prodigieuse disparité de leurs formes, toutes les écritures contemporaines se ramènent en fait en deux ou trois modèles et peut-être encore moins.

C’est en effet dans la partie inférieure de l’Irak actuel, entre Bagdad et Bassora aux alentours de 3700 ans avant Jésus-Christ que s’est apparu pour la première fois au monde un procédé calculé pour s’extérioriser et fixer tout ce que le langage peut exprimer de la pensée humaine.

L'Écriture est d’abord un fait de civilisation mésopotamienne. Elle y est profondément insérée tout d’abord

  1. Par ses motivations et

  2. Par son matériel.

Le besoin même d’un pareil procédé est né de l’un des paramètres de cette civilisation. Fondée sur l’agriculture céréalière intensive et l’élevage en grand du menu bétail, le tout entre les mains d’un pouvoir centralisé, elle s’est rapidement empêtrée dans une économie tentaculaire, qui rendait inévitable le contrôle méticuleux des mouvements financiers et commerciaux.


On aurait pourtant tort de s’en tenir là, considérant en sommes cette invention de l'Écriture, pour général qu’on la tienne, comme un simple accident de parcours, une commodité nouvellement acquise, un gadget pour améliorer l’existence, alors qu’il s’agit bel et bien d’une innovation révolutionnaire. Passer de la tradition orale à la tradition écrite, ce n’est pas seulement changer le mode de la communication entre les hommes, c’est transformer fondamentalement la propre qualité de ces messages, la façon de les voir, de les recevoir, la manière de les penser.

Tout message écrit devient par le fait même, indépendant de celui qui l’émet : quiconque le lit le tient désormais à sa disposition, non plus seulement le temps de l’entendre, mais autant qu’il le veut, puisqu’il peut le relire et le méditer à son aise. Ce message est désormais fixé, ce qui lui confère tout ensemble, outre la durée, une densité considérable. Plus de clarté aussi : ses éléments, les mots sont clairement découpés, leur ordre et leur relations mutuelles sont permutables, interchangeables, ils peuvent se prêter à des combinaisons nouvelles à des trouvailles purement mentales. Les mots prennent la place des choses, ils sont plus maniables, mais aussi ils sont plus universels, plus dégagés de l’individualité et de la matérialité. Un nouveau type d’activité intellectuelle peut désormais se développer autour d’eux fondée sur l’analyse, l’abstraction, le raisonnement et la déduction.


En outre cette accumulation d’expérience et de progrès de quiconque réfléchit à son tour et couche par écrit ses trouvailles peuvent être fixés, mis à la disposition de tous, transmis au loin ; et la tradition d’un côté, le savoir de l’autre peuvent ainsi tout à la fois se propager et progresser beaucoup plus vite et beaucoup plus sûrement.

Cette révolution ne s’est pas achevée en un jour ! Elle s’était faite d’abord à l’avantage d’une certaine catégorie de la société. Celle de l’Expert des Écritures Le maniement de celle ci terriblement compliqué, avec ses centaines de signes presque tous polyvalents, nécessitait pour s’y accommoder des années d’apprentissage. Écrire et lire était une véritable profession. Seuls les spécialistes pouvaient donc et utiliser cette technique et s’exposer plus immédiatement aux bouleversements qu’elle apportait à l’esprit et à ses progrès.

Dès le IIIème millénaire, nous constatons à la fois l’existence d’une production ‘littéraire’ et d’une traduction de ‘belles lettres’ et les premiers essais d’un véritable esprit ‘scientifique’ adapté à la rationalité du cru.

C’est même lui qui a donné à la mentalité des habitants de l'Irak, la Mésopotamie, telle que nous la connaissons, ses caractéristiques principales :

1) Une extraordinaire curiosité de savoir.

2) De tout examiner et de tout enregistrer, analyser, classer, ordonner, et comprendre l’univers tout entier.

3) Un ‘rationalisme’ que l’on est forcé d’admirer pour peu que l’on prenne contact avec tout ce qu’il a produit.


L'Écriture n’est pas seulement sortie du sein de l'Irak ou de la Mésopotamie, elle lui a conféré sa marque propre, son ampleur, sa profondeur, son originalité et sa force..

Elle lui a octroyé aussi sa durée et sa notoriété. Sur près de 3700 ans d’usage, elle y a donné lieu à une production écrite gigantesque, dont une partie infime mais à nos yeux considérable, le chiffre d’un demi million de pièces à été exhumé, peu à peu de cette vieille terre depuis 150 ans, qu’on la bouleverse de fouilles ininterrompues.


Grâce à leurs écrits, nous connaissons donc leur Histoire ‘évènementielle’ comme on dit à présent. Les noms et les séquences de leurs souverains, leurs dynasties, la durée respective de leur règnes, leurs vicissitudes et péripéties ; alternance de leurs centres de pouvoir, la mesure de leur puissance et de leur gloire, non seulement chez eux mais aussi sur le théâtre international et « depuis la mer inférieure, jusqu’à la mer supérieure », pour parler comme eux, autrement dit depuis le Golfe, aux confins de la méditerranée, Iran, Asie mineure, Irak, Palestine, Arabie orientale.

Nous connaissons leur système politique, leur organisation d’état, leur conception de la justice et les principes selon lesquels elle s’exerçait, depuis le recueil des décisions juridiques ou codes de lois, (Hammourabi) jusqu’aux comptes rendus de procès, tantôt tragiques, tantôt pittoresques.

Nous connaissons le monde surnaturel sous la mouvance duquel ils vivaient. Nous savons les noms, les pouvoirs et la hiérarchie de leurs dieux et de leurs déesses. Nous avons une idée de leur ‘théologie’ du comportement et des aventures de leurs divinités, des explications sur les origines et le sens de ce monde, d’eux-mêmes, de leur existence, de leur destin après la mort..

Nous avons des rituels de leur liturgie et de leurs fêtes, les textes de leurs hymnes, leurs psaumes et de leurs louanges.

Quant à ce que l’on peut appeler la vie intellectuelle, nous n’avons pas seulement d’eux des exercices d’écoles, mais des manuels, des listes de signes, de mots, de synonymes, de dictionnaires, parfois multilingues, des gloses et des commentaires. Nous avons aussi des encyclopédies tout à fait raisonnées et des recueils plus proprement scientifiques, de jurisprudence, de mathématiques et d'Astrologie, cette science qui leur permettait de conclure l’avenir à partir d’un certain nombre de phénomènes singuliers. Calculs d’astronomie, des traités médicaux de diagnostique et de pronostique, des recueils de pharmacologie et de thérapeutique. Nous avons des florilèges de proverbes, de conseils moraux et de fables. Nous avons même toute une littérature qui va de l’historiographie au roman, du tournoi littéraire au chant d’amour, du dialogue philosophique au conte bouffon et satirique.

De quel côté que l’on se retourne en Mésopotamie, l'Écriture est au centre même de la civilisation, comme chez nous, elle est au centre de la nôtre.


vendredi 9 avril 2010

Souriez avec la Résistance irakienne ..

La nonne et le déserteur ricain
Un déserteur US fuyant la fournaise de la résistance irakienne est poursuivi par la police militaire de son pays et ses mercenaires de Blackwater. Il errait sur les routes et cherchait une cachette. Soudain il vit à l'arrêt d'un bus une religieuse..Notre déserteur lui demanda essoufflé : « Ma soeur, je vous en prie cachez-moi sous vos jupes, juste quelques instants et je vous expliquerai plus tard pourquoi. »

La chaste religieuse répondit d'une voix rauque.. Vas-y !

Quelques instants plus tard, deux voitures bondées de police demandaient à la bonne soeur si par hasard elle a vu un déserteur dans les parages !

La chaste religieuse répondit : « Oui, votre déserteur détala comme un lapin dans cette direction. »

Alors les cowboys ricains à la gâchette facile, brandissant leurs mitraillettes et prêts à tirer sur tous ce qui bouge disparurent..

Notre déserteur, à peine sorti des dessous des jupes bénites de la nonne, il lui dit :
« Excusez ! Vous avez deviné, je me suis sauvé de l'enfer irakien et je ne veux pas y retourner. »

La vestale lui répondit : « J'ai bien compris ta situation et j'entends ton effroi. »
Le déserteur lui dit : « Soeur ! Pardonnez moi ! Je vous jure par mes joints de cocaïne, mes anti-dépresseurs, et mes pétards, le ciel vous a gâtée de deux jambes finissant par deux cuisses à croquer. »

La nonne bondit d'un coup et lui répliqua : « Salopard ! Si tu avais levé les yeux un peu plus vers les hauteurs, tu aurais vu une paire de bourses et un zob hors service..car moi aussi, je ne veux pas aller pour l'Irak ! »

mardi 6 avril 2010

France : silence très bruyant de " l'élite" de la République !

Les putains de la République !

Après sept ans de massacres non-stop, de pillages en tous genres, de mensonges sans fin..Bon Dieu où sont les Sages, les Justes, et les Humanistes de la République ?

Où sont nos hérauts de carnavals des droits de l'homme.. Que sont-elles devenues les vieilles bourges.. protectrices des kurdes irakiens, avocates des Tchétchènes celles qui pleurent sur le sort des femmes afghanes et qui voudraient – oh my gode..participer et à leur âge, aux défilés de mode de Kaboul.. Celles qui déversent des larmes très médiatiques sur le sort des victimes de Haïti..Ces dames ministres qui rampaient pour mendier un rendez vous avec un ministre quand le gouvernement patriote irakien payait rubis sur l'ongle..

Vous me faites vomir ! Je vous exècre ! Vous me répugnez ! Vous puez la trahison ! Vous suez la lâcheté ! Et je vous jure.. si la France était occupée demain, vous seriez tous et toutes du côté de l'occupant.. parce que hypocrites.. opportunistes, sans principes et pourvus d'une bassesse sans égale.

Durant sept ans d'occupation, les gangsters US ont assassiné deux millions d'Irakiens.. et puis, chez les clowns des droits de l'homme..silence radio. Depuis sept ans.. les criminels US détiennent 162 000 Guy Moquets irakiens sans jugement.. sans raison, et puis chez les Sages de la République, silence ! on se remplit la panse. Et depuis maintenant sept ans que les voyous de la banlieue de la terre, les gangsters US détruisent les musées, les bibliothèques.. les sites archéologiques irakiens.. Babylone, Ur des Chaldéens, et nos intellectuels sont couverts d'infamie, nos conservateurs de musée baignent dans la fange de la perfidie et sont habillés de l'opprobre de la complicité. En sept ans d'invasion les mercenaires US et le Mossad ont assassiné des centaines de professeurs et d'académiciens irakiens .. et nos académiciens bidonnants et alcooliques et nos philosophes des lumières croulent sous la honte de la fourberie. A chaque coin de rue, dans chaque village, dans chaque cité irakienne, dans les mosquées, et les églises, il y des centaines d'Oradour sur Glane..et les 'Justes' de la République ronflent de leurs narines pleines de morves ..Les US assassinent les journalistes, tuent les messagers et nos journalistes sont contents de forniquer avec l'Occupant immonde US et de répéter sa propagande. Les villes irakiennes sont ravagées par l'uranium appauvri, le phosphore blanc, et dans les hôpitaux irakiens, les malformations de nouveaux-nés crèvent toutes les statistiques et nos gigolos de l'environnement, nos faux prophètes et nos artistes écolos copulent et jouissent avec les oiseaux migrateurs, les dauphins et les ours polaires.

Les US détiennent, violent, torturent et assassinent des centaines de femmes..et d'enfants en bas âge... et nos féministes dissertent sur le voile, le string et l'existence ou non du point G !

Mais où est passé donc tout ce beau monde humaniste ! Sont-ils tous sur la liste de paie de la CIA comme l'ont été nos honorables historiens stratèges et et écrivains « du siècle » tels Raymond Aron, Michel Crozier, Edgar Morin et bien d'autres.

Voilà maintenant sept ans que la bête immonde US est déchainée en Irak. Ce que les criminels US entreprennent dans le pays des deux fleuves, le berceau de la civilisation, dépasse toutes les horreurs : escadrons de la mort, massacres de civiles dans les marchés pour discréditer la Résistance, raids nocturnes qui terrorisent les foyers et les familles irakiennes. Ce que les nazis ont fait en France, est rien en comparaison avec ce que les assassins US et leurs mercenaires pratiquent dans la Mésopotamie. Hitler n'a pas détruit le Louvre et n'a pas démoli les tours de Notre-Dame de Paris.. Les Nazis n'ont pas cassé les infrastructures.. et les institutions, ils n'ont pas fait sauter les ponts de Paris.. Les nazis n'ont pas assassiné deux millions de français..

Mais au fond, pourquoi se révolter contre des gens sans honneur, lâches, et hypocrites..Vous me faites vomir.. parce que vous suez la trahison. Vous suintez l'hypocrisie. Vous rampez et vous ramperez devant n'importe quels maîtres, occupants, nazi soit-il ou US. Vous êtes une corporation d'eunuques, sans valeurs et sans honneur. Vous le savez l'Irak est un tabou, c'est le grand prix des gangsters mondialistes réunis et vous en faites partie.

Pour votre information et celles des 'Sages', des 'Justes' et des 'Humanistes' de la République qui me dégoutent, voici quelque chiffres officiels établis par les instances internationales et des ONG de l'état de l'Irak après sept ans de libération.

Deux millions de victimes civiles

Les US et leurs escadrons de la mort, et leurs milices formées en Hongrie, Roumanie et en Pologne, ont assassiné jusqu'à présent deux millions de civils irakiens dont 127 000 patriotes, c'est à dire écoutez bien, 127 000 Guy Moquet, que vous connaissez bien à présent.

162 000 prisonniers politiques

Les US admettent détenir dix mille prisonniers de guerre irakiens, mais la réalité et les faits sont autrement différents.

Dans une lettre adressée au tribunal international des crimes de guerre de Bruxelles, l'Association des Traducteurs et des Linguistes arabes affirment que les Forces occupantes US détiennent au moins 162 000 prisonniers irakiens dans plus de 50 centres et camps d'emprisonnement répartis sur le territoire irakien y compris 28 prisons gérées directement par les forces d'occupation, sans parler des prisons secrètes gérées par les mercenaires de Blackwater.

Le nombre des détenus enregistrés auprès de la Croix Rouge Internationale (ICRC) s'élève à 71000 prisonniers de guerre. Des milliers d'autres prisonniers ne sont pas enregistrés sur les listes de la Croix Rouge car emprisonnés dans les centres de détentions gérés par les forces d'occupation US qui y refusent l'accès à tout organisme international.

On trouve parmi ces détenus des milliers de prisonniers d'âge avancé qui croupissent dans les prisons US depuis maintenant sept ans dans des conditions d'hygiène abominables et des plus sordides.

Des centaines de femmes et d'enfants détenus

Parmi ces prisonniers de guerre il y a 520 femmes. Les US, soit disant pays des institutions et dont la machine de propagande donne des leçons de bonne conduite en matière des droits de l'homme, détiennent au moins 900 enfants de moins de 15 ans dont 450 ont moins de 12 ans.

Dans les prisons du gouvernement fantoche vichyssois imposé par l'Occupant US, il existe 1400 enfants maltraités et amassés dans des prisons encombrés et surpeuplés. Des centaines d'autres détenus sont emprisonnés par erreur ou soupçonnés d'appartenir à la résistance irakienne.


Des centaines de cadavres jetés dans les rues

La situation la plus tragique : ceux sont des centaines de cadavres jetés sur les routes des villes partout en Irak après avoir été torturés ou assassinés dans les prisons US, par leurs milices ou les mercenaires de Blacwater engagés par l'armée d'occupation US.

Des dizaines de milliers de disparus

Outre les prisonniers, il y a aujourd'hui en Irak des dizaines de milliers de disparus et il est très difficile vraiment de connaître leur chiffre exact.

Aussi après sept ans de libération, les irakiens n'ont toujours pas d'eau potable. Les Bagdadis ont seulement une ou deux heures d'électricité par jour. Le pétrole, après avoir été nationalisé.. il est pillé aujourd'hui par l'armée US, bradé et offert en présent aux grandes multinationales..Avant leur libération les irakiens achetaient leur pétrole pour moins qu'un centime de franc.. - oui un centime de franc.. aujourd'hui grâce aux gangsters US, les Irakiens importent leur pétrole.. 47 pour cent de la population active irakienne est au chômage.

Selon les sources mêmes du gouvernement fantoche installés par les US à Bagdad, il y a en Irak, plus d'un million de veuves et trois millions d'orphelins. .

Et entretemps que fait le gouvernement français qui célèbre avec pompe la mémoire de Guy Môquet, et rend bruyamment hommage à Jean Ferrat le communiste ! Que fait-il pour l'Irak ?.. Eh bien le gouvernement français forme la milice irakienne qui demain assassinera les Guy Môquet et les Jean Ferrat irakiens qui résistent et luttent pour arracher leur pays aux griffes de la bête immonde US et reprendre leur destin en main.

Les voyous US sont en Irak pour construire des écoles !

Tablette mathématique
La mesure des volumes
Longueur : 19 cm ; largeur 12.3cm
Irak -Mésopotamie
Ière dynastie babylonienne (IIème millénaire av. J.-C.)
Bibliographie sommaire :
F. Thureau-Dangin : Revue d'Assyriologie, XXXII, (1935) n° 1, pp. 3-28

L.W.King : Cuneiform Texts, London, 1900, part IX, pl. 9-10

La tablette comprend dix huit problèmes. Il s'agit de calculer la surface des volumes. Le triangle est, suivant la tradition babylonienne (héritée des Sumériens) tracée de telle façon que le côté que nous appellerions « base » est en haut. De ce fait il avait la forme de « clou ». Comme le triangle, le trapèze, lui aussi était figuré par les Babyloniens dans le sens inverse de celui qui nous est familier. C'est la grande base, en effet, qu'il plaçaient en haut. Il l'appelaient « face de boeuf ».
Le problème XV (colonne III) donne comme exemple de travail une rigole qui a été élargie et approfondie. Il s'agit de calculer le volume de terre anciennement extrait, le volume nouvellement extrait et la longueur (unité) assignée à chaque ouvrier pour sa tâche quotidienne. La figure tracée sur la tablette représente le plan d'une partie de la rigole.

jeudi 1 avril 2010

Assurbanipal (669-631 av. J.-C.) roi iraqien vaillant et lettré installé dans sa capitale Ninive,
une demeure de lions !
« C'est une demeure de lions !
Un antre de lionceaux !
Lorsque part le lion,
La lionne y reste,

Nul ne les inquiète.
Le lion met en pièces pour ses petits,
déchire pour ses lionnes ;
Il remplit ses antres de proies
Son antre de gibier."


C'est en Irak, la Mésopotamie, pays des palmiers-dattiers et du jardin d'Eden tant aimé du soleil que l'humanité a écrit le premier chant d'amour, nommé les étoiles, et instauré les lois. Les traditions font remonter les villes mésopotamiennes irakiennes au commencement du monde. La superbe Ninive, Ninawa en assyro-babylonien et en arabe, la capitale assyrienne aux remparts inébranlables, avec ses palais légendaires et ses bas-reliefs fabuleux, habitée dès la préhistoire, c'est la ville du roi Assurbanipal et la capitale de l'empire assyrien. Ninive c'est aussi la ville de Mossoul d'où nous vient la mousseline. Mossoul, la métropole du nord, située sur la route de la soie, de l'encens et des épices et coupée en deux par le fleuve mythique Tigre. Mossoul veut dire en arabe, le trait d'union, le lien. L'Irak c'est la porte de l'Asie..un pays stratégique sur le plan militaire et économique ; l'Irak c'est la clé de l'Orient.
Assurbanipal (669-631) un monarque irakien épris des lettres et des arts.
Le roi Assurbanipal était un monarque lettré et raffiné, il s'occupa d'établir la première bibliothèque de tous les temps .
Ninive, illustre ville de lettres et d'art de l'Antiquité
Pendant plus d'un siècle, et aux environs de 745 avant J.-C. les assyriens irakiens tenaient le sceptre de l'Orient et du monde ancien. L'Assyrie s'étendait de l'actuel Qatar sur le Golfe et jusqu'à Thèbes dans la vallée du Nil en Égypte. Le 20 décembre1853 on découvrit dans le palais d'Assurbanipal (669-631), à Ninive, la célèbre « Chambre aux lions » où se déroulent les scènes de chasse, chefs d'œuvre de l'art assyrien. Cette découverte allait être suivie d'une autre plus sensationnelle encore : celle de la bibliothèque d'Assurbanipal, qui contenait plus de 40 000 tablettes cunéiformes.. La propagande des gangsters US veut nous faire croire que les libérateurs criminels yankees sont venus avec leurs civilian-contracters pour construire des écoles pour les irakiens..

C'est dans cette bibliothèque en argile que le fameux texte assyro-babylonien du déluge, plagié largement par la Bible dans la Genèse, a pu être identifié. Le récit du déluge n'est en fait qu'un épisode d'une épopée en douze chants, qui raconte les exploits du héros Gilgamesh et qui remonte au XVII ème siècle avant notre ère. Le récit du déluge est reproduit sur la onzième tablette et constitue le onzième chant. Il présente avec le récit biblique de très grandes similitudes. Les ressemblances qui existent dans la marche générale de la narration, dans l'ordre de la composition et parfois jusqu'à dans les détails et la terminologie et du style, attestent de façon indéniable d'un emprunt direct aux tablettes cunéiformes. Le texte de la Bible n'en est qu'une reproduction épurée, une transformation monothéiste et très abrégée Les splendides bas-reliefs et la collection des textes du palais de Sénnachérib et d'Assurbanipal, témoignent des mille feux dont brillait Ninive et de la prodigieuse richesse et du faste atteints par cette civilisation. Les sculpteurs mossouliotes ont retracé sur les murs les hauts faits de la vie du roi. L'un des chefs d'œuvres de ces sculptures est ' La lionne blessée '. C'est le sommet de l'art assyrien. La Lionne est criblée de flèches, son arrière-train paralysé a été brisé. Elle nous semble traîner une montagne de souffrance. Elle refuse de mourir, défie la mort et défend même la vie. Ses pieds avant sont ancrés au sol irakien! Elle affronte et brave ses bourreaux. Et malgré l'intensité de sa douleur, elle continue de rugir. Avec quelques traits élégants et quelques coups délicats de ciseaux et de burin incisés dans le calcaire de Mossoul, le sculpteur irakien, mariant beauté et brutalité, a pu nous transmettre ses profondes émotions et la douleur intense de la lionne. Tout d'abord, il a, et de façon délibérée, dégagé son ouvrage et alloué l'espace nécessaire aux admirateurs pour vivre et méditer la scène ; ensuite il nous fait oublier les exploits du roi, et nous contraint, sidérés, à compatir avec la victime meurtrie. Malgré l'espace et le temps qui nous séparent de l'artiste irakien, la 'Lionne Blessée' nous interpelle toujours car elle transcende le temps et les cultures. L'habileté de l'artiste assyrien ne cesse de nous surprendre et de nous étonner avec cette ' Gazelle Effrayée '. Nous avons l'impression d'entendre en même temps qu'elle, une flèche siffler dans la savane de Ninive, elle se retourne alarmée, tandis que ses congénères paissent paisiblement. La grande majorité des bas-reliefs était toujours in situ avant l'invasion des nouveaux tatars, les criminels US. Cette révélation bouleversante des chefs d'œuvres des artistes assyriens irakiens place Ninive au premier rang des villes de lettres et d'art de l'antiquité.

Il est important de rappeler que les lions ont toujours habité et en grand nombre l'Irak dans les plaines et sur les plateaux de Ninive, dans les buissons et palmeraies de Babylone et dans les marais du sud. Les rois chaldéens et assyriens étaient grands chasseurs de lions. La force et la majesté du lion, ses fureurs et son ardeur à poursuivre la proie ont fourni maintes comparaisons aux poètes. Les rugissements que le lion fait entendre sont formidables, retentissent et résonnent au loin à une lieu à la ronde, et ont quelque chose de majestueux, surtout dans le silence de la nuit. Ils remplissent d'épouvante toutes les bêtes de la savane qui en suivent, tremblant, les diverses modulations. Celui qui a vécu l'expérience du rugissement des lions, en restera troublé. Abu Assur de Ninive a été témoin d'une scène dans la savane où une jeune lionne étouffait du baiser de la mort un buffle au faîte de sa force avant de le traîner à travers un torrent furieux. N'est ce pas l'image vivante de la résistance irakienne qui brisa les reins de l'Ogre féroce US en Mésopotamie ?